Peu vêtues ou dévêtues,comme lorsqu’on s’apprête à dormir. Elles semblent vouloir danser, « les danseuses ». Elles sont deux ! Les lèvres sont scellées, le visage exprimant le doute, sombre ce visage. Elles dansent, mais quelque chose les préoccupe. Elles doutent, semblent douter de l’ordre du monde, le monde comme sous l’influence d’une lune pleine, cette lune penchée sur les tourbillons des corps … (extrait: d’un texte de Miloud Keddar parut dans la revue Verso n° 158 )